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Sturmgeschütz IV

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Message  Admin Mer 31 Oct - 20:06

Origine et conception

A partir de 1943, l’intensification des bombardements anglo-saxons pèse lourdement sur l’industrie militaire allemande, qui peine à s’adapter aux nouvelles exigences de la « guerre totale » et aux commandes massives de la Wehrmacht. Celle-ci, cherchant à reprendre l’initiative après les défaites de fin 1942, doit faire appel à des véhicules peu coûteux et simples à produire, afin de combler ses pertes au plus vite. Le Sturmgeschutz symbolise ce nouvel état d’esprit, bien éloigné de la complexité des programmes « Tiger » et consorts ; efficace, bon marché, il est vivement réclamé par les unités au front, qui doivent faire face aux retards de livraisons des « Panzer ». Preuve de cet intérêt, Hitler décide de porter la production mensuelle du StuG III à 300 unités, un chiffre difficilement atteignable puisque le châssis du Panzer III, duquel est dérivé le StuG, arrive en fin de carrière.
La firme Krupp AG d’Essen pense trouver la solution, en adaptant la superstructure du StuG III sur un châssis de Panzer IV, dont Krupp est le principal producteur. Les premières traces de ces travaux datent de février 1943, avec le projet « W1468 ». Arrêté, le projet est menacé par la validation du programme « Jagdpanzer IV » de Vomag, en août 1943 ; la dénomination complète du Jagdpanzer IV, Sturmgeschütz neuer Art mit 7.5 cm PaK L/48 auf Fahrgestell PzKpfw IV, témoigne de sa proximité avec le programme « Sturmgeschutz IV ». Pourtant, plusieurs contretemps vont remettre le programme de Krupp au goût du jour ! En premier lieu, les retards de livraisons de la pièce devant équiper le Jagdpanzer IV, le 7.5cm KwK 42 L/70, et l’incapacité de Vomag à lancer la production dans de courts délais.



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Deuxièmement, la firme Alkett (Altmärkische Kettenfabrik GmbH) de Berlin, principal producteur de StuG III, est violemment bombardée les 23 et 26 novembre 1943, anéantissant la majeure partie de ses infrastructures ; la production chute drastiquement, passant de 255 StuGe produits en octobre 1943, à 24 unités seulement en décembre !
Ces sérieux revers pousse Krupp à présenter, via la Waffenamt, le projet « StuG IV » à Hitler, le 6 décembre 1943 ; celui-ci est enthousiasmé, et sensible aux arguments de Krupp, qui mettent en avant la simplicité de production et le faible coût du futur blindé. En effet, le StuG IV reprend une superstructure simple et disponible, celle du StuG III, une pièce rependue, le 7.5cm StuK 40 L/48, et le châssis éprouvé du Panzer IV, qui, à l’inverse du Panzer III du concurrent Daimler-Benz, en fin de carrière, est une plateforme développable et versatile.
En temps record, un prototype est réalisé, mêlant superstructure de StuG III Ausf G, et châssis de Panzer IV Ausf F, présenté le 17 décembre devant Hitler et son état-major. Présentation réussie, puisque la production en série est immédiatement ordonnée.



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Ainsi, le Sturmgeschutz IV est, avant même le lancement de production, une solution « d’intérim » : il complète, d’une part, la production de Sturmgeschutz III, et d’autre part, comble le délai avant le lancement de la production de masse du Jagdpanzer IV équipé du 7.5cm KwK 42. Ce dernier doit, à terme, remplacer le StuG IV et le Panzer IV « à tourelle » sur les chaînes de production. Pourtant, initialement intérimaire, le StuG IV se révèlera finalement définitif, puisque sa production s’étalera jusqu’à la fin du conflit, aux côtés du Jagdpanzer IV/70 et du Panzer IV, inchangé !



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Description

Krupp reprend une superstructure de StuG III, allongée sur l’avant (un des détails les plus visibles est le poste de conduite avancé) et légèrement plus haute ; en effet, le châssis du Panzer IV était 46cm trop long, et 8cm trop bas par rapport au châssis du Panzer III, pour lequel était adaptée la superstructure du StuG III Ausf G ; d'où le poste de conduite avancé. La superstructure est blindée à 80mm sur l’arc frontal, 30mm sur les flancs et l’arrière, le toit et le plancher étant blindés à 11mm.


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Le bloc moteur est identique à celui du Panzer IV, soit un Maybach HL 120TRM 12 cylindres de 300 chevaux, combiné à une transmission ZF-SSG-76 Aphon.
La suspension est également tirée du Panzer IV, et représente la différence visuelle la plus nette entre StuGe III et StuGe IV ; alors que le StuG III adopte une suspension à 6 galets à barre de torsion, empruntée au Panzer III, le StuG IV présente 8 galets, à ressorts à lame. A cela se rajoute un barbotin propulseur, et une route tendeuse. A l’origine, le StuG IV présente 4 petits galets de retour, mais ce nombre passera à 3 à partir de l’automne 1944, lorsqu’entrera en production le Panzer IV Ausf G, dont les StuGe IV reprirent le châssis sur les chaines de production.



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Dès le début de production, le StuG IV fut doté d’un masque de canon arrondi, favorisant les ricochets. Surnommé « Topfblende » (et non « Saukopf » comme trop souvent écrit), ce masque adopta en août-septembre 1944, une MG-34 coaxiale, afin d’accroître la défense rapprochée du véhicule.
Une MG-34 est montée sur le toit, derrière un bouclier légèrement blindé (8mm) ; à partir d’avril 1944, cette arme est contrôlable depuis l’intérieur du compartiment de combat, l’opérateur ne devant sortir que lorsqu’il était nécessaire de remplacer le chargeur de 50 cartouches.
A la même période, le dispositif de défense rapprochée "Nahverteidigungswaffe" est installé sur le toit des Sturmgeschütze ; il s'agit d'un tube, rotatif, installé à un angle de 36°, permettant de tirer divers charges autour du véhicule, à une distance entre 5 et 10 mètres environ. L'orifice est protégé par une plaque blindée mobile, et les munitions sont chargées via la culasse. Une fois l'angle de tir définit, le tireur bloque le tube grâce à un levier, et peut tirer une certaine variété de munitions : Schnellnebelkerze 39 (fumigène), Rauchsichtzeichen 160 & 350 (fumigène coloré). Mais surtout, il était possible de tirer avec un "Leuchtpistole", tirant des fusées éclairantes, ainsi qu'au "Kampfpistole", tirant des grenades 2,6cm Sprenggranatpatrone, explosant à environ 50cm au-dessus du sol. Ce dispositif permet d'empêcher l'infanterie de s'approcher du blindé, notamment dans ses angles morts.
Le tireur dispose d’une lunette TSR-1, et le chef de char un périscope-double d’observation TF-14Z, en plus d’une coupole à 7 (plus tard 8, rotatifs) épiscopes. Le conducteur dispose lui, de deux épiscopes fixes, sans fente de vision.




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Le StuG IV suit ainsi les modifications apportées sur le StuG III.
Comme ce dernier, les galets de route, autrefois cerclés de caoutchouc, sont entièrement métalliques à partir de novembre 1944.
Face au manque de matières premières, au manque de compétence des ouvriers (déportés ou réquisitionnés pour la plupart, et non des ouvriers spécialisés), la qualité globale des véhicules produits, notamment des blindages, est en chute libre à partir du dernier trimestre de l’année 1944 ; fragiles, cassants, les blindages sont de piètre qualité, diminuant la protection globale des véhicules, en s’additionnant aux pannes techniques et aux carences en carburant. Ce constat s’applique à la quasi-totalité des productions industrielles allemandes de l’époque, notamment sur ces véhicules « bon marché » tel que les Sturmgeschütze, à l’assemblage bâclé en cette fin de guerre.



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Concernant l'armement, le StuG IV reprend le très rependu 7.5cm StuK 40 L/48, partagé avec le StuG III, les Marder, et surtout, le Panzer IV. Le terme « Sturmkanone 40 » (StuK) désigne l'utilisation de la pièce à bord de Sturmgeschutz ; il n'y a aucune différence technique avec le 7.5cm KwK 40 ( « Kampfwagenkanone 40 ») L/48 du Panzer IV, seulement une indication sur son utilisateur !

Le 7.5cm StuK 40 utilise une certaine variété de munitions, partagées avec le KwK 40 :



- KwK 40 Pzgr. Patr.39 (APCBC), 790 m/s, 11.52 Kg, fusée de type BdZ-5103, mise à feu électrique C/22. Poids du projectile : 6.8 Kg. Quantité de poudre : 2,41 Kg, type Diglycol R.P. G1.

- KwK 40 Pzgr. Patr.40 (APCR), 990 m/s, 8.61 Kg, mise à feu électrique C/22 (pas de fusée).
Poids du projectile : 4.1 Kg. Quantité de poudre : 2.2 Kg de Gu.R.P.77 (essentiellement de la nitrocellulose et nitroguadinine). Noyau sous-calibré en tungsten.

- KwK 40 Gr. Patr.38 HL (HEAT), 475 m/s, 7.36 Kg, fusée de type A.Z.38-St, mise à feu électrique C/22). Poids du projectile : 4.6 Kg. Quantité de poudre : 0.43 Kg type Gu. Bl. P.AO (essentiellement de la nitrocellulose et nitroguanidine). Quantité d'explosif dans le projectile : 0.51 Kg de RDX.

- KwK 40 Sprgr.Patr.34 (HE), 550 m/s, 8371 Kg, fusée type Kl. A.Z. 23, mise à feu électrique C/220. Poids du projectile : 5.75 Kg. Quantité de poudre : 0.755 Kg de Gu. Bl. P.AO.
Quantité d'explosif dans le projectile : 0.66 Kg d'amatol (TNT et nitrate d'ammonium).



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MUNITION POIDS DU PROJECTILE
VITESSE INITIALE
CAPACITÉS DE PERFORATION SUR PLAQUE DE BLINDAGE, INCLINÉE À 30°, EN MILLIMÈTRES
100 mètres
500
?ètres 1000
?ètres 1500
?ètres 2000
Mètres
Pzgr 39 6,8 Kg
790 ?/s 106 96 85 74 64
Pzgr 40 4,1 Kg
990 ?/s 143 120 97 77
(Source Wikipédia, traduction)


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A partir de 1943, le manque de tungsten, matière première fortement sollicitée par l'industrie, poussa à la rarification du Pzgr.40. Le Pzgr.39 et le Sprgr. 34 sont les obus les plus utilisés par les équipages. Tous les types de munitions avaient un code-couleur déterminé.



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Production

Selon certaines sources, les 31 premiers Sturmgeschütze IV produits en décembre 1943 par Krupp seraient des conversions de Panzer IV endommagés, retournés en usine pour réparations.
1108 StuGe IV furent assemblés de décembre 1943 à mars 1945 par Krupp AG ; combinés avec les 31 conversions, le total serait de 1139.


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Au combat

Mêmes avantages et inconvénients que le Sturmgeschütz III, soit une superstructure basse et ramassée, difficilement repérable, mais sans tourelle, donc forcément plus vulnérable sur les flancs. Cet inconvénient est cependant relativisé par la mobilité du blindé, notamment en faisant « ripper » les chenilles afin d’aligner le canon sur la cible.
En terrain meuble, le StuG IV souffre, malgré son poids restreint (23 tonnes), de chenilles trop étroites ; l’adoption des chenilles élargies « Ostketten » compensera quelque peu ce défaut.
D’un point de vue armement, le tube de 7.5cm StuK 40 l/48 offre des performances honorables, y compris à la fin du conflit, à condition que l’adversaire reste dans un gabarit standard – M26 Pershing ou chars « IS » sont des cibles hors d’atteinte pour le tube de 7.5cm, identique à celui du Panzer IV. Face aux nouveaux mastodontes soviétiques et anglo-saxons, le StuG IV ne peut espérer que frapper sur les flancs ou l’arrière des blindés lourds, et ce, à des distances parfois inférieures à 500 mètres !
Plus rependus, les T-34/85 peuvent être pris à partie sur l’arc frontal à des distances inférieures à 1000 mètres, à 2000 mètres pour les flancs et l’arrière du char soviétique, avec, toutefois, un fort risque de ricochet. Les M4 Sherman, eux, sont sensibles aux projectiles de 7.5cm en-dessous de 1500 mètres environ sur l’arc frontal, à l’exception du masque du canon. Cependant, avec l’apparition du surblindage sur les M4 (appliqués en atelier ou en usine), l’efficacité de la pièce allemande chute rapidement ; idem face aux Cromwell britanniques, puis surtout avec l’arrivée du Comet, imperméable aux obus allemands aux distances usuelles de combat.



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Engagé en Italie, sur le front Ouest et Est, le Sturmgeschutz IV participa à la majeure partie des opérations blindées allemandes des deux dernières années de guerre.

Il équipa plusieurs Sturmgeschütz-Brigaden et Abteilungen, servant même comme remplaçant dans des Panzerjäger-Abteilungen (normalement équipées de Marder, et par la suite, de Jagdpanzer 38 (t), et Jagdpanzer IV ... mais « faute de mieux » !), voir exceptionnellement dans des Panzer-Regiment !
Cependant, a partir de 1945, avec l’apparition progressive mais certaine des chars Alliés de nouvelle génération, l’efficacité du StuK 40 devient de plus en plus discutable ; devant s’approcher au plus près de l’ennemi, l’équipage allemand ne peut espérer que frapper en premier, toute riposte étant potentiellement mortelle, au vue du blindage, certes correct mais notoirement insuffisant face aux derniers antichars ennemis.


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Ses atouts restent cependant de taille, et compensent quelque peu les risques et vulnérabilité du blindé ; silhouette ramassée, taille réduire, autant de qualités qui permettent un camouflage (idéalement en embuscade) facile. Autre avantage indéniable, sa nature-même : produit sur un châssis disponible en nombre, grandement rependu au sein de la Wehrmacht et de la Waffen-SS, celui du Panzer IV ! Ceci facilite bien entendu entretien et réparations, grâce au nombre de pièces de rechange disponibles … ou, à défaut, la possibilité de cannibaliser les blindés hors de combat !
Motorisation, transmission et armement sont également partagés, avec le Panzer IV et dérivés, ainsi qu’avec le StuG III. Dans une Allemagne exsangue, à l’industrie chancelante, cette simplicité et polyvalence est un atout de poids.
Enfin, d’un point de vue « humain », le StuG IV est adapté aux réels (et non supposés !) besoins de la Panzerwaffe : facile à conduire, fiable, disponible, ce blindé est bien plus adaptés aux jeunes Panzerschützen (avec un entraînement décent, bien entendu, ce qui est rarement le cas en fin de guerre) que les lourds Tiger ou Panther, à la mécanique difficile.



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D’ailleurs, comme Hitler le voulu un temps, il convient de se pencher sur la possibilité de remplacer le Panzer IV « à tourelle » par ses dérivés « Panzerjäger & Sturmgeschütze » ; ces deux derniers sont au final assez proches, et, dans le cas du StuG IV, l’armement est égal au Panzer IV, pour un poids moindre, une mécanique moins sollicitée, et des coûts de production inférieurs ! Bien entendu, une « chasseur de chars » (dans la perspective allemande) ne remplacera pas un char à tourelle, mais dans notre cas de figure, le Panzer IV a-t-il un réel atout face au StuG IV, dans une optique de production de masse urgente ? La réponse n’est pas catégorique, mais quand on sait que dans sa dernière version, l’Ausf J, le Panzer IV abandonne les moteurs auxiliaires de tourelle pour un mouvement manuel, la question mérite d’être posée !


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Et si le StuG IV fait difficilement face aux nouveaux « tanks » Alliés, à la même époque, le Jagdpanzer IV/70, à la redoutable pièce de 7.5cm KwK 42 (identique à celle du Panther), est produit en série. Si ce dernier n’est pas exempt de défaut … c’est une solution économique d’offrir aux unités blindées, faisant feu de tout bois face à un adversaire nombreux et bien équipé, une plateforme fiable, polyvalente, et à l’armement puissant, sans demander l’impossible à l’industrie du Reich. Le StuG IV et « successeurs » sont donc bien des véhicules adaptés aux difficiles conditions économiques et militaires de l’Allemagne de fin de conflit ; d’ailleurs les ingénieurs ne s’y tromperont pas, puisque la nouvelle « génération de Panzer » , prévue pour l’après-45, est en vaste partie composée de chasseur de chars, sans tourelle, puissamment armés et économiques, héritiers de l’excellent concept qu’est le « Sturmgeschutz », et celui des « vrais Panzerjâger » !
Néanmoins, pour finir, rappelons que « l’économie », notamment en matières premières, n’est pas sans incidence sur la qualité des blindés … les blindages en sont les premières victimes



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Spécifications

Equipage : 4 hommes (chef de char, tireur, chargeur/opération radio, conducteur).

Poids : 23 tonnes
Longueur : 6.70 mètres
Largeur : 2.95 mètres
Hauteur : 2.20 mètres
Garde au sol : 40cm

Moteur : Maybach HL120-TRM, 12 cylindres, essence, 300CV
Transmission : ZF-SSG-76 « Aphon » (6 rapports avant, 1 arrière)
Suspension à ressorts à lame.
Vitesse maximale : 40km/h sur route, 22km/h tout-terrain
Autonomie : 210 kilomètres (sur route) (tout-terrain : environ 140 kilomètres)
Rapport poids/puissance : 13CV/tonne
Franchissement : 30°
Franchissement obstacle : 0.6 mètres
Franchissement tranchée : 2.3 mètres
Chenilles : 400mm de largeur, 99 patins

Blindage ; avant : 80mm, latéral et arrière : 30mm, plancher et toit : 11mm

Armement : 7.5cm StuK 40 L/48, 63 obus en réserve
Armement secondaire : 1x ou 2x MG-34, 1010 coups en réserve
Lunette TSR-1 (tireur) et épiscope d’observation d’artillerie TF-14Z (chef de char).
Le dispositif "Nahverteidigungswaffe" de défense rapprochée est installé à partir d’avril 1944.

Matériel de communication interne au véhicule : Bordsprechanlage modèle 24 (spécifique aux Sturmgeschütze), couplé au bloc radio. Haut-parleur interne pour chauffeur L.S.G. (Fu) Type B.

Matériel radio :

Ensemble radio FuG 16 SE-10, conçu pour la Sturmartillerie, comprenant : un émetteur de type 10 WS.h, et un récepteur Ukw.E.h.
Ensemble-radio FuG 15 : comprend un second récepteur Ukw.e.h et un convertisseur E.U.a (permettant ainsi au char de devenir, sans modification, un char de commandement de peloton ou compagnie, la présence du deuxième récepteur autorisant au commandant d'être à l'écoute de deux unités en même temps !)
Portée maximale de réception : 8km (à l'arrêt, et en radiotélégraphie, la portée de la radiotéléphonie étant encore plus courte).
Deux antennes (pour chaque poste radio) de 2 mètres, sont installées à l'arrière de la casemate, de chaque côté ; généralement, seule l'antenne de la FuG 16 est déployée, un "simple" équipage ne nécessitant qu'un émetteur et récepteur.
Fréquences utilisées : 23.1-25.0 Mhz
Circuit électrique : 12V (24V au démarrage).


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